Le mercure a effet grimpé à un niveau inégalé depuis 1880, date des premiers relevés. Une poussée de fièvre largement imputable à un épisode El Niño particulièrement puissant, un phénomène océanique et atmosphérique dont l’effet s’ajoute à la tendance lourde, le réchauffement dû aux émissions humaines de gaz à effet de serre.