Le 24 août dernier un séisme de magnitude de 6,2, localisé entre les communes italiennes de Norcia et Amatrice, cause près de 300 victimes. Il est ressenti jusqu'à plus de 200 km. Si la Botte italienne est cinq fois plus exposée que l'Hexagone aux tremblements de terre, la France est loin d'être à l'abri des aléas sismiques. Et occulter ce risque pourrait coûter très cher aux collectivités. C'est ce que révèle une étude dévoilée vendredi par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et la Caisse centrale de réassurance (CCR).