Selon les travaux réalisés par une équipe de géologues dirigée par Carole Prentice, de l'US Geological Survey de Menlo Park, publiée par le journal Nature Geoscience, le séisme qui a frappé Haïti le 12 janvier 2010 a certes été dévastateur mais n'a pas relâché toutes les tensions accumulées au fil des ans le long d'une faille sismique bien connue, qui présente toujours un danger important pour la capitale, Port-au-Prince.