Grâce à la mise au point de techniques de corrélation de pixels entre images, utilisant des images du satellite SPOT-5 acquises avant et après le séisme du Pakistan (2013, magnitude 7.7), des chercheurs de l’Institut de physique du globe de Paris (CNRS, Paris Diderot, Sorbonne Paris Cité) et un chercheur de l’IGN ont pu calculer, avec une précision inégalée, le déplacement horizontal induit par le séisme en surface.