D’après des travaux réalisés par Taka'aki Taira (Université de California, Berkeley, E-U) et ses collègues et publiés dans la revue Nature, les séismes de forte magnitude pourraient modifier l’état d’autres failles, même à de très grandes distances. Ainsi, le séisme de Sumatra en 2004 aurait affaiblit la faille américaine de San Andreas.