Une équipe composée de chercheurs issus de l’université de Californie à Los Angeles (Etats-Unis), de l’Institut de Physique du Globe (France) et d’un data scientist du fabricant de technologies pour satellites Terran Orbital a testé une nouvelle méthode basée sur l’apprentissage profond et exploitant des données captées dans l’ionosphère, la couche de l’atmosphère située entre 50 et 600 km d’altitude pour détecter les tsunamis dès leur formation.