Les observateurs qui surveillent en permanence ce volcan pouvaient jusqu'à présent prévoir ses éruptions quelques heures à l'avance. Leur pronostic pourrait s'améliorer avec l'application d'une nouvelle méthode de surveillance, basée sur une étude menée par l'Institut de physique du globe de Paris, en collaboration avec des équipes du laboratoire de géophysique de Grenoble et de l'observatoire volcanologique du piton de la Fournaise.