Dernière mise à jour : le 16/04/2025 à 16:32
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"C'est inhumain. Il y a des personnes désemparées. On vous donne un chèque dérisoire et débrouillez-vous", s'indigne Pierre Tréhin, propriétaire d'une des maisons de l'entrée de Blois (Loir-et-Cher), qu'il faudra raser d'ici à 2018 pour protéger l'agglomération des inondations...

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